lundi 9 avril 2012
Etape courte en ce lundi de Pâques. Je flâne dans les marais jouxtant la ville à l'est, véritable hortillonnage du Berry, puis après un crochet par le palais de Jacques Coeur, je m'enfonce dans un paysage triste, grisailleux et toujours balayé par le vent.
Pressant le pas, j'arrive au gîte communal de Charost, seul refuge ouvert. Faisant une entorse à mon principe, j'aurais bien averti la veille de mon arrivée comme il est vivement conseillé mais le soir d'un lundi de Pâques, la mairie était fermée depuis trois jours ! Bien sûr, les numéros de téléphone utiles sont affichés en cas de besoin, mais à l'intérieur du gîte. Grandeur de l'administration. Bref, après une heure de péripéties, un adjoint m'ouvre enfin la porte. Délivrance après l'angoisse car je ne me voyais pas repartir pour trois heures de marche jusqu'au gîte suivant à Issoudun.
nb : cliquer sur les images pour les agrandir
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